Notre sexualité est-elle définis à notre naissance ou bien est-elle influencé par nos actes et nos choix ?
Je précise que d'après un scientifique quand on est un embryon on a ce qu'on appelle un choc hormonale qui chez les garçons produirait un noyau dans le cerveau qui définirait notre attirance pour les femmes et inversement le noyau ce développerais pas pour les femmes ce qui explique leurs attirance pour les hommes. Mais pour les gays ou bi ce serait l inverse , des cas à part mais voilà savons nous autre chose à part ça car ce n'est pas prouvé je me pose des questions.
Ps pour les fautes dsl mais l'ortographe le soir c'est pas mon point fort^^
En tout cas si vous avez des réponses n'hésitez pas en ce moment j'ai mille et une questions qui se bousculent dans ma tête 😅
Vie intime
La sexualité

Axtracya
Et depuis quand Doudou a des arguments pour soutenir ce qu'elle écrit? :$

Horkay
Elle n'a jamais rien fait d'autre que donner son avis sans le soutenir par autre chose que "c'est ce que je pense alors ça doit être vrai" donc...
Je ne sais pas pour avant la naissance mais après il peut il y avoir des influences suivant le vécu, l'exemple le plus représentatif ça serait sans doute un traumatisme.
Apparemment l'appréciation des aliments dépend du ressenti vécu la première fois qu'on les mange, est ce vrai ou pas? Je pense que ça peut l'être inconsciemment, en mangeant un aliment on doit inconsciemment associer son goût au vécu de la première fois qu'on les a mangé (ou alors la généralité des fois où on en a mangé peut être). Ainsi le goût pourrait rappeler un vécu plus ou moins apprécié ou pas et on définirait l'appréciation de l'aliment plus en fonction de l'appréciation du vécu que l'on a eu quand on en a mangé qu'à leur goût.
Cela doit être probablement la même chose par rapport à l'apparence (pas au sexe), mais par rapport au sexe peut être qu'un vécu durant lequel on aurait ressenti très intensément une émotion cela pourrait influencer les préférences.
Nous n'avons pas une mémoire pour rien, elle est sensée nous rappeler le plus de vécu possible afin de nous permettre d'avoir des raisons pour effectuer des choix meilleur pour nous, le choix des personnes qu'on apprécie doit aussi compter là dedans.
Après la génétique doit aussi entré en compte, après tout c'est la composition et la structure de notre corps qui le rend ainsi et c'est la même chose pour le cerveau.
Sinon il y a quelque chose qu'il pourrait être intéressant de savoir, si nous étions né avec l'autre sexe est ce que ça serait différent? Je me rappelle d'un épisode de Dr House dans lequel un garçon né avec un corps de fille et il couchait avec des hommes (on ne peut pas dire par amour puisque plutôt sans émotion) et même après lui avoir montrer que son code génétique était celui d'un garçon il a voulu nier, est ce que ça changeait quelque chose de savoir qu'il était un garçon et non une fille? Moi je pense que le conditionnement de l'avis général influence les gens beaucoup plus qu'on ne le pense comme les parents influencent leur enfant en attendant des choses d'eux.
Je ne sais pas pour avant la naissance mais après il peut il y avoir des influences suivant le vécu, l'exemple le plus représentatif ça serait sans doute un traumatisme.
Apparemment l'appréciation des aliments dépend du ressenti vécu la première fois qu'on les mange, est ce vrai ou pas? Je pense que ça peut l'être inconsciemment, en mangeant un aliment on doit inconsciemment associer son goût au vécu de la première fois qu'on les a mangé (ou alors la généralité des fois où on en a mangé peut être). Ainsi le goût pourrait rappeler un vécu plus ou moins apprécié ou pas et on définirait l'appréciation de l'aliment plus en fonction de l'appréciation du vécu que l'on a eu quand on en a mangé qu'à leur goût.
Cela doit être probablement la même chose par rapport à l'apparence (pas au sexe), mais par rapport au sexe peut être qu'un vécu durant lequel on aurait ressenti très intensément une émotion cela pourrait influencer les préférences.
Nous n'avons pas une mémoire pour rien, elle est sensée nous rappeler le plus de vécu possible afin de nous permettre d'avoir des raisons pour effectuer des choix meilleur pour nous, le choix des personnes qu'on apprécie doit aussi compter là dedans.
Après la génétique doit aussi entré en compte, après tout c'est la composition et la structure de notre corps qui le rend ainsi et c'est la même chose pour le cerveau.
Sinon il y a quelque chose qu'il pourrait être intéressant de savoir, si nous étions né avec l'autre sexe est ce que ça serait différent? Je me rappelle d'un épisode de Dr House dans lequel un garçon né avec un corps de fille et il couchait avec des hommes (on ne peut pas dire par amour puisque plutôt sans émotion) et même après lui avoir montrer que son code génétique était celui d'un garçon il a voulu nier, est ce que ça changeait quelque chose de savoir qu'il était un garçon et non une fille? Moi je pense que le conditionnement de l'avis général influence les gens beaucoup plus qu'on ne le pense comme les parents influencent leur enfant en attendant des choses d'eux.

Axtracya
Je dirais que notre orientation sexuelle est liée à notre génétique (l'inné), mais aussi et surtout, à l'environnement dans lequel nous allons évoluer (l'acquis).
Et je pense que cette orientation se définit tout particulièrement de la naissance à l’adolescence en fonction de la relation enfant-parents.
L'enfant se construit et recherche constamment des repères. Et c'est précisément là où le rôle des parents va être primordial.
Des parents qui vont désirer un petit garçon et qui vont finalement donner naissance à une fille, peuvent inconsciemment reprocher à leur enfant de ne pas être né garçon.
Un enfant est une éponge émotionnelle, il capte et absorbe les sentiments et les ressentis, et de manière privilégiée ceux des parents.
Ainsi le subconscient de cette petite fille va ressentir le fait qu'elle serait désirée et aimée, si elle appartenait au sexe opposé. Elle peut alors se conditionner à évoluer en tant que garçon et adopter les comportements correspondants au sexe masculin.
D'autre part, certains parents peuvent avoir une relation ambiguë avec leur enfant. J'ai connu certains homosexuels qui m'ont raconté avoir eu une relation trop et anormalement fusionnelle avec leur mère dès leur petite enfance. Ainsi leurs repères ont été biaisés dès le début.
Et puis il y a aussi l'aspect biologique. Il est vrai que le rôle des hormones est non négligeable.
Evidemment la nature humaine est bien complexe, et énormément de choses restent hors de portée de la science.
Les psychanalystes énoncent une multitude de théories qui se contredisent les unes les autres car les frontières entre la génétique, l'environnement, et voir même le spirituel, sont difficilement perceptibles.
Ce qui définit notre orientation sexuelle, mais encore notre personnalité tout entière, reste au final basé que sur des suppositions, et à mon sens, heureusement pour nous :)
Et je pense que cette orientation se définit tout particulièrement de la naissance à l’adolescence en fonction de la relation enfant-parents.
L'enfant se construit et recherche constamment des repères. Et c'est précisément là où le rôle des parents va être primordial.
Des parents qui vont désirer un petit garçon et qui vont finalement donner naissance à une fille, peuvent inconsciemment reprocher à leur enfant de ne pas être né garçon.
Un enfant est une éponge émotionnelle, il capte et absorbe les sentiments et les ressentis, et de manière privilégiée ceux des parents.
Ainsi le subconscient de cette petite fille va ressentir le fait qu'elle serait désirée et aimée, si elle appartenait au sexe opposé. Elle peut alors se conditionner à évoluer en tant que garçon et adopter les comportements correspondants au sexe masculin.
D'autre part, certains parents peuvent avoir une relation ambiguë avec leur enfant. J'ai connu certains homosexuels qui m'ont raconté avoir eu une relation trop et anormalement fusionnelle avec leur mère dès leur petite enfance. Ainsi leurs repères ont été biaisés dès le début.
Et puis il y a aussi l'aspect biologique. Il est vrai que le rôle des hormones est non négligeable.
Evidemment la nature humaine est bien complexe, et énormément de choses restent hors de portée de la science.
Les psychanalystes énoncent une multitude de théories qui se contredisent les unes les autres car les frontières entre la génétique, l'environnement, et voir même le spirituel, sont difficilement perceptibles.
Ce qui définit notre orientation sexuelle, mais encore notre personnalité tout entière, reste au final basé que sur des suppositions, et à mon sens, heureusement pour nous :)

-torapamafoto
👌👌👌

Cleyo
D'un point de vue éthologique, je dirais qu'elle est définie à notre naissance étant donné que les principaux "buts de la vie" sont la reproduction et la survie, en gros "tu peux pas choisir". Après faut prendre le sujet dans le contexte, et je pense qu'il y a un phénomène social qui rentre en jeu( l'éducation, l'environnement, à noter que tu es sexuellement opérationnel qu'à partir de l'adolescence donc le vécu est à prendre en compte), puis faut pas oublier non plus que tout ça ce ne sont que des sécrétions d'hormones après tout, autrement dit, selon moi, les phénomènes sociaux ont inhibé l'importance de l'hétérosexualité laissant place à plus de diversité sexuelle mais pour essayer d'avancer sur la question je pense qu'il serait intéressant de s'informer sur les modalités hormonales (peuvent elles varier par exemple)...

Cleyo
*"importance de l'hétérosexualité" je précise les guillemets parce que je rebondissais sur le regard éthologique du début et ne présente absolument pas un avis

A mon avis l'action des hormones dans la vie est non négligeable...
Chez l'homme par exemple (pour ainsi dire le sexe masculin), la testostérone a des effets génétiques dits "indirects"... Pour la femme nous avons des chromosomes xx et pour l'homme des chromosomes xy... Dans le chromosome "y", il y a un gène dont j'oublie le nom qui est responsable des la formation des testicules qui à leur tour fabriquent la testostérone pendant le stade embryonnaire... C'est cette hormone qui est responsable des caractéristiques masculines morphologiques/comportementales...
Si y a absence de testostérone, on a alors des structures génitales et comportementales femelles, même si le sujet en question est de sexe masculin... Ça c'est du point de vue scientifique...
Chez l'homme par exemple (pour ainsi dire le sexe masculin), la testostérone a des effets génétiques dits "indirects"... Pour la femme nous avons des chromosomes xx et pour l'homme des chromosomes xy... Dans le chromosome "y", il y a un gène dont j'oublie le nom qui est responsable des la formation des testicules qui à leur tour fabriquent la testostérone pendant le stade embryonnaire... C'est cette hormone qui est responsable des caractéristiques masculines morphologiques/comportementales...
Si y a absence de testostérone, on a alors des structures génitales et comportementales femelles, même si le sujet en question est de sexe masculin... Ça c'est du point de vue scientifique...



Horkay
kusanagi9999 :
"...Désolé pour les kilomètres d'écrits mais parfois on n'est obligé sinon j'ai pas le syndrome d'Horkay..."
C'est énorme comme quoi tu ne considères une obligation que pour toi...
"...Désolé pour les kilomètres d'écrits mais parfois on n'est obligé sinon j'ai pas le syndrome d'Horkay..."
C'est énorme comme quoi tu ne considères une obligation que pour toi...

jejelove33
pour c'est simplement du a une envie



crazyrunman
Tout a été dit ! Après, tu vas en librairie, tu achètes 5-6 livres sur le sujets, (philo, socio, psycho) et tu fais ton devoir.
(sarcastique)
(sarcastique)
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